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Cos-Petrogaz

COS-PETROGAZ

Le Comité d’Orientation Stratégique du Pétrole et du Gaz (COS-PETROGAZ) : un levier stratégique pour une gestion cohérente, transparente et inclusive des ressources pétrolières et gazières 

 

Avec la découverte de gisements importants de pétrole et de gaz au large de ses côtes, le Sénégal s’est engagé dans une dynamique ambitieuse de réforme et de bonne gouvernance du secteur extractif. Pour en tirer pleinement profit dans l’intérêt de la nation, l’État a engagé d’importantes réformes, dont l’adhésion à l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE) en 2013. Cette dynamique traduit une volonté forte de garantir une gouvernance responsable et transparente du secteur extractif. 

Dans cette même dynamique, leComité d’Orientation Stratégique du Pétrole et du Gaz (COS-PETROGAZ) a été créé, par le décret n°2016-1542 du 3 octobre 2016, avec comme mission principale d’assister le Chef de l’État et le Gouvernement dans la définition, la mise en œuvre, la supervision, l’évaluation et le contrôle de la politique nationale en matière de gestion et de valorisation des ressources pétrolières et gazières

SEM Bassirou Diomaye Diakhar FAYE

SEM Bassirou Diomaye Diakhar FAYE

Un cadre de concertation élargi et inclusif

Dans un souci de transparence et d’inclusivité, la composition du COS-PETROGAZ a été élargie par le décret n°2020-2094 à des représentants de l’opposition politique et de la société civile. Cette ouverture a été consolidée le 24 juillet 2024 par décret n°2024-1482, afin de mieux refléter la diversité des sensibilités de la population sénégalaise, détentrice souveraine de ces ressources naturelles. 

 

Un alignement stratégique pour maximiser les retombées économiques 

L’action du COS-PETROGAZ s’inscrit ainsi dans une logique d’alignement stratégique des politiques publiques, visant à créer des chaînes de valeur intégrée, de l’exploration à la transformation industrielle des ressources. Cette orientation a pour objectif de maximiser la valeur ajoutée nationale, d’accroître la contribution du secteur extractif au Produit Intérieur Brut (PIB) et de stimuler le développement d’autres secteurs de l’économie.